14 mars Femmes Le souffle créatif au féminin Entr’Elles, le regroupement des femmes en Saskatchewan, a organisé une retraite virtuelle de ressourcement. Ce fut l’occasion pour les...
Liberté, que de bêtises on profère en ton nom C'est quoi, ces « convois de la liberté » qui ont convergé à Ottawa et ailleurs? Quel est le lien entre leur message et...
Le CÉCS au cœur du mouvement coopératif depuis 75 ans À travers une exposition exclusive présentée dans le cadre de son du 75e anniversaire, toute l’histoire du Conseil économique...
Fête en famille à Gravelbourg Dans le cadre de la Fête de la famille, l’Association communautaire fransaskoise de Gravelbourg a offert une multitude d’activités...
Un retour à la normale pas si évident Avec la levée des restrictions sanitaires en Saskatchewan, les organismes francophones doivent s’adapter à une nouvelle donne pour organiser...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8512 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer