27 février Politique Les Fransaskois au rendez-vous du Parlement jeunesse pancanadien Une cinquantaine de jeunes issus des quatre coins du pays se sont retrouvés de façon virtuelle pour la 11e édition du Parlement jeunesse...
Le Mois de l’histoire des Noirs tourné vers l’avenir Le moment fort de cette cérémonie était sans aucun doute le témoignage de Carol LaFayette-Boyd, descendante de familles noires venues au Canada au...
Une nouvelle direction à la Société canadienne-française de Prince Albert La Société canadienne-française de Prince Albert (SCFPA) a annoncé la nomination de Soraya Ellert au poste de directrice générale.
Corneille apporte la lumière, « une histoire de la Création » Corneille apporte la lumière, une légende inuite, écrit par Brandy Hanna, a été traduit en français et publié en janvier 2022 par les Éditions de...
Droits linguistiques : où s’en va la Cour suprême du Canada ? Les juges doivent-ils interpréter la Charte canadienne des droits et libertés de façon large et libérale ou restrictive ?
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8521 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer