28 mars Immigration Les Prairies maintiennent la cible de 4,4 % d’immigration francophone Il faut travailler fort pour atteindre la cible de 4,4 % d’immigration francophone hors Québec d’ici 2023.
Nature Canada récompense Regina pour son soutien aux oiseaux La capitale de la Saskatchewan devient la 5e ville du Canada à recevoir le précieux trophée de Ville amie des oiseaux.
Le parcours exceptionnel de la famille Mayes Descendante de colons d’origine africaine en Saskatchewan, la fransaskoise Lesa Mayes-Stringer a présenté un atelier sur...
Lever du drapeau fransaskois à Regina Contrairement à l’année dernière à pareille date, les Fransaskois ont pu enfin se rassembler pour la traditionnelle levée du drapeau...
Un acteur fransaskois voit son film présenté à Hollywood La présentation du court métrage Wicked Plans à Hollywood restera un souvenir magique pour Devlin Horth et sa mère Denise Séguin.
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8512 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer