Cité universitaire francophone 20 mai 2021 Discrimination et intimidation : « L’inaction n’est plus une option ! »
18 mai Politique Une réforme de la loi 101 qui tend la main aux communautés francophones Le ministre du Québec responsable de la langue française a déposé jeudi devant l’Assemblée nationale du Québec le projet de...
Une nouvelle direction générale pour la CAFS Mireille Bizimana est devenue le 27 avril la nouvelle directrice générale de la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS)....
« Le Plateau des Prairies », la grande scène portative de l’AJF L’Association jeunesse fransaskoise s’est dotée début mai d’une grande scène portative unique en son genre en Saskatchewan.
Le renard véloce retrouve ses prairies Le plus petit renard d’Amérique du Nord, de la taille d’un gros chat, est un pur habitant des prairies.
Le montage de mouches, un passe-temps à découvrir Les moucheurs cherchent des poissons de plus en plus gros et veulent les attraper avec une mouche qu’ils ont fabriquée eux-mêmes.
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16413 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer