Éducation 27 mai 2021 Les Fransaskois de Saskatoon se préparent à recevoir une nouvelle école élémentaire
25 mai Chronique environnement Saskatchewan, terre d’accueil : pour combien de temps encore ? La Saskatchewan repose sur l'agriculture et les ressources, Est-ce de quoi affronter le futur en toute sérénité ? Des scientifiques se...
Le camping au Canada : un mode de vie devenu loisir Chaque année, des millions de Canadiens fréquentent les terrains de camping. Mais savez-vous pourquoi le camping est devenu si populaire au...
Une tournée ressourçante pour Ponteix Le groupe fransaskois Ponteix est en tournée virtuelle dans l'Ouest et le Nord canadiens, et ce, jusqu'au 29 mai.
Bâtir des ponts en musique avec Marie-Véronique Bourque La flûtiste fransaskoise Marie-Véronique Bourque veut bâtir des ponts dans son nouvel opus Entre Québec et Saskatchewan.
Une histoire d'amour céleste Les habitants de l’hémisphère Nord peuvent profiter de La pluie de météores Êta aquarides jusqu’au 28 mai 2021.
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16413 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer