1 octobre Théâtre Prix SATA 2020: année exceptionnelle pour la Troupe du Jour La pièce de théâtre Will & Ernest, écrite par Martine Noël-Maw et produite en février 2020 par la Troupe du Jour, a reçu trois prix au gala...
Que doit-on retenir du discours du Trône? La lutte contre la COVID-19 et ses conséquences sociales et économiques ont marqué le discours du Trône du 23 septembre.
Du théâtre radiophonique à la Troupe du Jour Chaque année, les élèves de l'école de théâtre de La Troupe du Jour présentent des spectacles originaux devant public. Les représentations de...
Mia, un modèle de résilience et d'originalité Mia Georget, une jeune fille de North Battleford atteinte d’une rare tumeur au cerveau, fait preuve d’une résilience exemplaire et...
Rentrée scolaire Les écoles fransaskoises réussissent leur rentrée malgré la pandémie La rentrée scolaire fransaskoise a eu lieu du 8 au 11 septembre partout dans la province. L’eau vive s’est entretenue avec...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16479 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer