23 octobre Écoles fransaskoises Débats corsés entre les candidats au poste de conseiller scolaire C'est un premier débat radiophonique parfois houleux qui a eu lieu le 20 octobre entre Alpha Barry et Siriki Diabagaté, les deux prétendants...
La communauté fransaskoise appelée au dialogue et à la collaboration REGINA - C'est dans le but d'apaiser un climat qualifié de « très inquiétant » au sein de la communauté que quatre...
Des francophonies rapprochées depuis 50 ans Comment les francophonies du monde se sont-elles transformées au cours des 50 dernières années grâce à leurs institutions? Une question aux...
Deux ans plus tard, les Canadiens consomment à peine 2 % plus de cannabis Contrairement à la crainte populaire, la légalisation du cannabis n’a pas causé d’augmentation de conduite avec facultés affaiblies ou...
La jeunesse fransaskoise : folklore en devenir? En Saskatchewan, 1,3% de la population utilise le français comme première langue officielle alors que c’est la langue maternelle de 1,5% de...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16479 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer