24 novembre Communautaire Assemblée générale numérique pour la Société historique La Société historique de la Saskatchewan (SHS) a tenu sa 43e assemblée générale annuelle (AGA) sur la plateforme Zoom le 14 novembre, jour...
La COVID-19 nous donne une leçon de vie Le tumulte causé par la pandémie me pousse à me poser deux questions. D’abord, quelles leçons pouvons-nous tirer de la pandémie du point de...
Thomas Chevalier : Choisir sa voie Le Conseil culturel fransaskois (CCF) a dévoilé le nom de l’artiste qui représentera la Saskatchewan au tout nouveau programme de formation...
Année fructueuse pour les Éditions de la nouvelle plume L’assemblée générale annuelle des Éditions de la nouvelle plume (ÉNP) a eu lieu le 31 octobre 2020 par conférence Zoom. Elle a regroupé...
Le savoir pour lutter contre la COVID-19 Le 3 novembre dernier, la Cité universitaire francophone de l’Université de Regina, en partenariat avec l’Association francophone pour...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16465 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer