14 novembre Postsecondaire Ma thèse en 180 secondes : trois Fransaskois dans la course L’Association francophone pour le savoir propose à des étudiants, via son concours Ma thèse en 180 secondes, de présenter leur sujet de...
Pas touche aux moutons ! La mission de ces chiens est simple : défendre les troupeaux et les familles de paysans contre les attaques d’animaux sauvages.
Une journée de souvenirs à Gravelbourg La communauté de Gravelbourg a pris le temps de célébrer le jour du Souvenir le matin du 11 novembre 2020.
Quand la fransaskoisie décourage Les tensions qui agitent la communauté fransaskoise ont atteint dernièrement un tel niveau que quatre organismes porte-parole ont dû se mobiliser...
Alpha Barry réélu pour un deuxième mandat Entretien avec Alpha Barry, été réélu au poste de conseiller scolaire pour la région scolaire n°3 incluant Regina et Moose Jaw. Celui qui est...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16465 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer