24 août Musique Ateliers en ligne de Malika Sellami L’écriture de chanson, entre douceur et connexion L’artiste fransaskoise Malika Sellami a organisé un atelier d’écriture de chanson le 13 août avec la collaboration du Carré de la...
La famille Pasche parcourt le monde à vélo Les Prairies séduisent une famille de nomades Céline et Xavier Pasche, originaires de la Suisse, parcourent le monde à vélo. Ils ont offert une conférence à St-Denis en collaboration avec...
Champêtre County s'adapte à la pandémie SAINT-DENIS - Près du village fransaskois de Saint-Denis, se trouve l’entreprise familiale Champêtre County, un lieu mythique de...
Beyrouth : une explosion à l'ampleur de ses malheurs Deux Saskatchewanais issus de la diaspora libanaise joignent leurs voix à la vague d’indignation qui a secoué le monde entier après la...
Janie Moyen, habitée par la flamme fransaskoise Janie Moyen, récemment diplômée de l’École canadienne-française de Saskatoon, est la seule Fransaskoise à avoir reçu la bourse...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16479 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer