3 septembre Gravelbourg Gravelbourg, la pépite francophone des Prairies canadiennes FRANCOPRESSE – Gravelbourg possède une histoire étonnante et plus grande que nature, qui commence au début du XXe siècle avec...
Cuba : une catastrophe humanitaire au nom de la démocratie Ce n'est pas la Covid-19 qui est à l'origine de la crise dans laquelle Cuba est plongée. Plusieurs mois avant les fermetures de frontières...
À 150 kilomètres au-dessus de nos têtes Étoiles filantes, comète Neowise, le ciel s'est donné en spectacle.
Des pistes de réflexion pour financer l’éducation postsecondaire francophone La récente victoire du Conseil scolaire francophone de la Colombie-Britannique (CSFCB) en Cour suprême laisse présager une possible expansion de...
Le lac Chaplin, une destination unique pour observer les oiseaux Si vous recherchez une destination de fin d’été axée sur la nature, le lac Chaplin offre un environnement unique, important, mais peu connu.
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16479 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer