9 avril Musique La relève musicale fransaskoise mentorée par Anique Granger Les 29 février et 1er mars derniers, la chanteuse fransaskoise Anique Granger, qui sillonne le pays depuis une vingtaine d’années, est...
Un troisième disque charnière pour Toria Summerfield SASKATOON - Sans tambour ni trompette, Toria Summerfield a lancé le 13 mars son 3e album sur toutes les plateformes. La chanteuse revient sur...
Le village d’Eastend : art, dinosaure et plus encore Patientez. Le jour viendra où nous pourrons explorer notre province une nouvelle fois. En attendant, je vous invite à voyager à Eastend avec...
Un moment opportun pour le nouveau café philo en Saskatchewan En ces temps de confinement, la solitude, le doute et l’angoisse peuvent faire surface. Une boisson chaude, un endroit calme, une connexion...
Face à la pandémie, l’heure est à l’entraide Alors que le confinement s’intensifie, l’isolement qui en résulte peut s’avérer difficile pour certaines personnes comme les...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6420 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer