7 février Politique Comment le vote autochtone peut faire basculer les élections Le faible taux de participation électorale des Autochtones est un enjeu important, tant au Canada qu’aux États-Unis. Pour la juriste...
Des célébrations sous le signe de l’engagement civique Lancement du Mois de l'histoire des Noirs à Saskatoon SASKATOON - Le Mois de l’histoire des Noirs se place cette année sous le signe de l’engagement civique des immigrants noirs. La...
Martine Noël-Maw: de passion et d'écriture Rencontre avec l'auteure Martine Noël-Maw qui nous parle de sa passion pour l'écriture et de sa fascination pour Will James.
L’énergie dans le vent ! Souvent vue comme la solution miracle pour sortir des sources d’énergie très polluantes, l’éolien a le vent en poupe ! Mais...
Décès du chroniqueur Réjean Paulin Le journaliste et observateur de la francophonie au Canada et dans le monde, Réjean Paulin, est décédé le dimanche 2 février. M. Paulin avait...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16569 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer