13 mars Littérature Trop peu de livres en français dans les bibliothèques publiques Dans son étude publiée fin octobre 2019, le chercheur américain Richard Russo révèle une inadéquation géographique entre le nombre de...
Fulgence Ndagijimana: de réfugié à chef de file des Africains fransaskois Natif du Burundi, le nouveau directeur de la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan, Fulgence Ndagijimana est devenu réfugié au...
La parité derrière les tables de mixage REGINA - Les femmes DJ ont fait tourner les tables au club The Cure le samedi 7 mars 2020 à Regina lors de l’événement Divas on the Decks.
Conférence et atelier à La Cité universitaire francophone La bande dessinée, une discipline toujours à la page REGINA - Le 26 février, la Cité universitaire francophone de Regina a offert un atelier dédié à la confection de bandes dessinées. L’atelier...
Ainsi soient-elles On parle peu des religieuses aujourd’hui, comme si leur histoire, leur legs, avait disparu en même temps que les voiles et les longs habits.
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16547 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer