4 avril Vitalité 55+ SK Résot'âges: L’isolement du confinement n’est pas une fatalité Pour briser l’isolement, la consultante Francine Proulx-Kenzle a proposé, le 2 avril 2020, une conférence en ligne dans le cadre de...
La compassion, le moment présent et la résilience Avec la COVID-19, tout a basculé et est bousculé. Nous sommes en deuil de notre routine et de notre stabilité.
Ce sera comment, après? À peine quelques semaines entre le "il y a un méchant virus en Chine" et la "distanciation sociale", entre les rassemblements...
COVID 19: Les familles s’adaptent au confinement Depuis le 20 mars 2020, les écoles de la Saskatchewan ont fermé leurs portes au profit de cours en ligne à partir du 6 avril. De leur côté, les...
La fransaskoisie adopte le télétravail Entre les projets qui s’annulent et ceux qui doivent continuer, les rapports de fin d’année fiscale et les réunions virtuelles,...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16547 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer