19 mars Francophonie Les Fransaskois reçus au Palais législatif REGINA - Le Palais législatif a accueilli la communauté fransaskoise pour la déclaration officielle des Rendez-vous de la Francophonie le 10 mars...
Le CÉF lance une application pour téléphone intelligent Le CÉF a dévoilé, le 12 mars 2020 une a,pplication pour téléphone intelligent qui permettra aux familles et aux élèves d'avoir accès en tout...
Festival du Voyageur: Un pèlerinage pour les Fransaskois Les Fransaskois ont toujours entretenu des liens étroits avec les Franco-Manitobains et le Festival du Voyageur est un véritable carrefour où les...
Ancien réfugié, Santos Ramos a trouvé son havre de paix à Prince Albert PRINCE ALBERT - Santos Ramos a fui le Salvador, un pays en guerre, pour le Canada où il s'est installé à Prince Albert en Saskatchewan.
COVID-19: Faites entrer l’accusé Il faudrait vivre sur une autre planète pour ne pas avoir entendu parler du Coronavirus. Tout mène à penser que l’espèce réservoir, qui...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16547 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer