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23 février Santé Changements climatiques et santé : à l’heure des choix L’environnement souffre, mais qu’en est-il de la santé des êtres humains ? La Cité universitaire francophone de l’Université de...
Laissez les bons temps rouler à La Nouvelle-Orléans! Le Mardi gras attire des visiteurs qui aiment festoyer, mais La Nouvelle-Orléans offre bien plus qu’une simple foire. Elle nous séduit aussi...
Enregistrement audio de La voix de mon père/My Father's Voice de Madeleine... Un livre audio par la Nouvelle plume : une première saskatchewanaise Les Éditions de la nouvelle plume sont les premiers éditeurs de la Saskatchewan, y compris parmi les anglophones, à s’attaquer au marché du...
Wexit Saskatchewan : La sécession gagne-t-elle du terrain ? Le parti séparatiste Wexit prévoit présenter une centaine de candidats dans l’Ouest lors des prochaines élections fédérales. Regard du...
Causerie avec Donald Sirois: Entre amour du français et assimilation SASKATOON - Dans le cadre du projet Résot’âges de la Cité universitaire francophone et de la Fédération des ainés fransaskois, le retraité...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16547 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer