24 janvier Communautaire Une formation offerte par l'Association des parents fransaskois Pour une gouvernance plus efficace et transparente Comment décider, collaborer, agir et contribuer au sein d’un conseil d’administration? Telles sont les questions auxquelles...
Un nouveau programme de financement administré par la FCCF PassepART rapproche les jeunes de l'art et la culture PassepART, le programme de microfinancement fédéral administré par la Fédération culturelle canadienne-française (FCCF), permettra à plusieurs...
Tenue du Parlement jeunesse national à Ottawa Des jeunes Fransaskois au cœur du Sénat Le Parlement jeunesse pancanadien (PJP) a réuni du 8 au 12 janvier à Ottawa plus d’une centaine de jeunes francophones venus des quatre...
Rencontre avec l'artiste de Saskatoon Départ prometteur pour les toiles oniriques d’Annie Bérubé SASKATOON - Annie Bérubé a peint six grandes toiles à l’esthétique onirique et rétrofuturiste dans les mois précédant et succédant le...
La francophonie canadienne en 2020 : De l’indignation à l’espoir Deux-mille-vingt a commencé sur une note un peu sèche. La Bibliothèque municipale de Toronto voulait retirer des dizaines de milliers de titres en...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6446 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer