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Financement agricole Canada: Des subventions bienvenues, bien qu’inégales Financement agricole Canada a remis 50 000 dollars à 23 organismes francophones à travers le pays et 150 000 dollars à 21...
Santé mentale: Les gestes AÉRIE et le bon sens Soutenir une personne qui développe un problème de santé mentale ou qui traverse une crise de santé mentale sous-entend mettre en application son...
Les conservateurs de Jason Kenney s’accrochent à l’illusion pétrolière L’Alberta de Jason Kenney entend baigner dans l’huile avec l’élection d’une majorité de 63 sièges sur 87 à la législature,...
Des Fransaskois révèlent leur destination de camping préférée D’après leurs réponses, les Fransaskois du Sud campent dans le Sud et les Fransaskois du Nord campent dans le Nord. Peu importe où vous...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6501 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer