25 avril Musique Lancement du premier album de Ponteix à Saskatoon Bastion rend hommage à mon héritage - Mario Lepage SASKATOON - Le samedi 20 avril 2019, le groupe musical Ponteix a fait connaître de manière solennelle à son public son tout premier album,...
Transferts en éducation: Ah, si les provinces voulaient… Le gouvernement fédéral a prévu de l’argent dans son récent budget pour les écoles françaises. Cela dit, le bât blesse quelque part....
Une bande dessinée pour favoriser le dialogue interculturel Ce projet original de bande dessinée présente un nouvel arrivant, Nelson, qui fait face à des situations loufoques, parfois déstabilisantes dans...
Points saillants de la 105e Assemblée des députés communautaires fransaskois L’ACF considère délaisser les services directs à la population REGINA - La première rencontre en 2019 de l’Assemblée des députés communautaires a mis la table concernant les orientations de...
Crise climatique : sonnons l’alarme! La mobilisation nommée « Crise climatique : sonnons l’alarme ! » a été initiée par la jeune suédoise de...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6510 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer