10 mai En quelques mots Passer les traditions Depuis que les deux troupes de danses folkloriques de la communauté fransaskoise ont cessé d’exister, un vide s’est créé. Les Danseurs...
Pour 2018, le Francothon a dû se réinventer REGINA - Pour l’édition 2018 du Francothon, le spectacle unique a été remplacé par une série d’activités communautaires organisées à...
Le journal de l’avenir Quand j’étais jeune, à la maison, nous avions l’habitude de recevoir trois journaux : L’Événement, journal du matin, Le...
Le juge Chicoine remet en question l’autorité de la Commission indépendante Revers de l’ACF à la Cour du Banc de la Reine Selon l’issue d’une démarche en cours devant les tribunaux, l’ACF pourrait se retrouver avec une nouvelle présidence.
Le pape François n'offrira pas d'excuses de l'Église aux Premières Nations Pas de guérison sans pardon Une lettre de la Conférence des évêques catholiques du Canada (CECC), adressée aux Autochtones, nous apprenait récemment que le pape François ne...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16635 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer