29 mars Chronique environnement Le temps des sucres La tradition d’aller manger un repas arrosé de sirop d’érable et de la tire sur neige à la cabane à sucre remonte au début du...
50 de vie francophone à l’Université de Regina Lancement de "Contre toute attente" REGINA - Le 15 mars 2018 , une quarantaine de personnes se sont rendues à La Cité universitaire francophone pour assister au lancement du livre...
Journée d’accueil du nouvel arrivant 2018 à Regina REGINA - Une trentaine de personnes se sont rendues à l’École Monseigneur de Laval de Regina où se tenait, le 24 mars dernier,...
L’isolement des aînés en Saskatchewan Avec une population de plus en plus âgée, l’isolement des aînés devient une préoccupation majeure dans l’ensemble du pays. Qu’en...
Étienne remporte le Grand prix du jury au Cabaret festif! de la relève Étienne Fletcher au Quai des brumes L’ambiance tamisée de la petite salle, au public dispersé mais ravi, contrastait avec l’énergie dégagée par Étienne et sa bande.
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16635 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer