12 avril Courrier du lecteur Mychèle Fortin quitte la barre de l'Eau vive L’aventure... On ne peut qu’être abasourdis par la qualité et la quantité du travail que Mychèle a abattu depuis qu’elle s’est retrouvée à la...
Un stage en nutrition en Saskatchewan : témoignage Finissante du baccalauréat en sciences de la nutrition de l’Université d’Ottawa, j’ai eu la chance de réaliser un stage de trois...
Dominique Sarny quitte l'Assemblée communautaire fransaskoise REGINA - Dominique Sarny, directeur général de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), a remis sa démission le 9 avril.
1 000 personnes dans les rues de 3 communautés Les Tintamarres fransaskois Trois communautés de la province, Moose Jaw, Prince Albert et Gravelbourg, ont organisé des Tintamarres le 20 mars 2018. Au total, ce sont près de...
La Cité universitaire francophone « s’autochtonise » Depuis sa fondation en 2005, le Centre canadien de recherche sur les francophonies en milieu minoritaire (CRFM) de l’Université de Regina...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16635 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer