28 mars Politique Le gouvernement fédéral dévoile son plan d'action pour les langues officielles Le gouvernement fédéral a dévoilé le 28 mars son nouveau plan d'action pour les langues officielles qui prévoit une majoration de 500 millions...
Comité des langues officielles en tournée Un cri d’alarme dans les garderies de l’Ouest Un groupe de sept membres du Comité permanent des langues officielles des Communes a récemment séjourné dans l’Ouest canadien pour...
L’Île aux fleurs N’eut été d’une décision prise en 1763, l’Amérique du Nord (le Canada et une bonne partie des États-Unis) aurait...
Atelier sur la parité hommes-femmes à Saskatoon SASKATOON - Le 10 mars dernier, une vingtaine de femmes ont participé, à Saskatoon, à l’atelier Agissons pour améliorer la parité...
Une initiative de la Coopérative des publications fransaskoises Formation en communication pour les organismes fransaskois L’Eau vive, en partenariat avec le Collège Mathieu et le Centre St-Pierre de Montréal, a offert une formation en communication à une...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16635 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer