25 mai Spectacle Le Chœur des plaines a chanté Brel et Offenbach SASKATOON - Le concert printannier du Choeur des Plaines mettait à l'honneur des oeuvres de Jacques Brel et Jacques Offenbach.
À la découverte de Michel Lalonde Entrevue réalisée avec Michel Lalonde pour À ciel ouvert, la revue littéraire des Prairies.
Réflexion à l'occasion de la fêtes des Mères La charge mentale : le fardeau des femmes Les mamans seront choyées le jour de la fête des Mères, le dimanche 13 mai. Mais le répit ne sera que de courte durée, car le fardeau de la...
Vivre le ramadan en fransaskoisie REGINA - Pour les membres de la communauté fransaskoise de confession musulmane, les semaines qui viennent revêtent une signification toute...
Cours sur les premiers soins en santé mentale MOOSE JAW - Les 5 et 6 mai derniers, une douzaine de personnes ont participé à une formation sur les premiers soins en santé mentale, animée par...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16635 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer