12 octobre Politique Le bilinguisme fédéral selon Charles Le Blanc « Le français n’est pas pris au sérieux dans la fonction publique » À la suite du dévoilement par Radio-Canada d’un rapport interne sur le bilinguisme dans la fonction publique...
Place aux femmes : une initiative citoyenne et solidaire p.p1 {margin: 0.0px 0.0px 0.0px 0.0px; text-align: justify; line-height: 13.0px; font: 11.0px 'Trebuchet MS'; -webkit-text-stroke: #000000}...
Netflix: Mélanie Joly est-elle encore crédible ? La ministre du Patrimoine a été critiquée pour une entente de 500 millions $ avec le producteur et diffuseur Netflix.
Rencontre avec Michel Vézina, le conseiller démissionnaire de Gravelbourg Le conseiller municipal de Gravelbourg, Michel Vézina, a démissionné de ses fonctions pour protester contre l’envoi...
La Trahison : un regard unique sur le soulèvement des Métis Le Théâtre Oskana a présenté sa pièce de théâtre La Trahison, du 21 au 23 septembre dernier, à Regina.
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16596 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer