Immigration 9 novembre 2017 Semaine nationale de l'immigration : lancement de la cinquième édition! Le Réseau en immigration francophone de la Saskatchewan (RIF-SK) a effectué le lancement de la cinquième édition de la Semaine nationale de l’immigration francophone, le 27 octobre dernier, à la Rotonde.
9 novembre Communautaire Bourrasque électorale de l’ACF : Denis Simard élu président Même si les élections de l’Assemblée communautaire fransaskoise ont eu lieu le 1er novembre dernier, il aura fallu...
Charte de la presse écrite minoritaire : éliminer l’ingérence Constatant une incompréhension en milieu minoritaire sur le rôle des journaux, l’Association de la presse francophone (APF) a...
L'ensemble de notre héritage: une oeuvre collective à Bellevue Environ vingt-cinq personnes de Bellevue ont collaboré pour créer un casse-tête géant soulignant le 150e anniversaire...
Course Zombies versus Humains Envahie par les zombies, Moose Jaw survit Des zombies ont envahi la ville de Moose Jaw, semant la terreur au parc Connor, le 14 octobre 2017.
Le CLO en Cour fédérale « L’agent du Parlement a abdiqué à son devoir d’indépendance » Chantal Carey résume la situation : « Le Commissariat s’oppose devant les tribunaux à un droit qu’il est...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16611 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer