Immigration 23 novembre 2017 Semaine nationale de l’immigration francophone : lancement de la cinquième édition!
23 novembre Communautaire AGA de la Fondation fransaskoise Quel avenir pour le Francothon? Au cours de son AGA, la Fondation fransaskoise a abordé l'avenir du Francothon.
Assemblée générale de l'ACF Changement aux statuts et appel des jeunes Les membres de l’Assemblée communautaire fransaskoise se sont finalement prononcés sur les modifications des statuts de...
Semaine nationale de l'intimidation L'intimidation s'est invitée au Rendez-vous fransaskois La jeunesse fransaskoise a décidé de faire entendre sa voix pendant le Rendez-vous fransaskois.
Élections de l'ACF: des résultats toujours en attente Le dossier des élections de l'ACF continue d'alimenter les discussions.
Lettre signée par des dizaines d'organismes et personalités Presse écrite en péril: Appel au gouvernement Trudeau Le gouvernement Trudeau a pris des décisions fortement contestées, qui sont favorables à certaines multinationales du...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16611 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer