Tabou No More - Réflexions sur la santé mentale 25 octobre 2017 Une diversité qui nous unit… pour un mieux-être dans notre communauté
20 octobre Écoles d'immersion L’autre côté de l’immersion Si les programmes d’immersion française ont joué un rôle dans l’augmentation du nombre de Canadiens bilingues dont...
Douzième édition des Journées du Patrimoine de la SHS Les cultures francophone et métisse célébrées à Batoche Cette année, la culture métisse était à l’honneur des Journées du Patrimoine qui se sont déroulées au lieu historique national de Batoche,...
Caravane de Vocalités vivantes: quand les mots voyagent Après avoir sillonné les routes canadiennes des Maritimes aux Prairies, la caravane de Vocalités vivantes a effectué...
Catalogne : et maintenant on fait quoi? Le 1er octobre 2017, les Catalans ont été appelés à se prononcer par voie de référendum sur l’avenir de la Catalogne.
La GRC malmène le français à Gravelbourg L’arrivée imminente de deux agents unilingues anglophones de la Gendarmerie royale du Canada au détachement de Gravelbourg...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16596 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer