30 juin 2ELGBTQ Entretien avec Guy Michaud La cause LGBT en Saskatchewan : des progrès certes, mais... 27 ans après la première Semaine de la fierté gaie organisée en 1989 à Regina, la cause LGBT a fait du progrès en Saskatchewan et plus...
Société historique de la Saskatchewan : un fond de 46 625 $ pour un projet d’archives Bibliothèque et archives Canada a accordé une subvention de 46 625$ à la Société historique de la...
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Consultation de Patrimoine canadien en vue Le ministère du Patrimoine canadien a annoncé une série de consultations publiques afin d’élaborer un nouveau...
Mon enfant ne veut manger que des pâtes ! Même si notre enfant semble être déterminé à ne pas manger les « choses vertes » qui osent...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6373 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer