4 juillet Écoles fransaskoises Les artistes en herbe font belle impression Exposition d’arts de l’École Ducharme « Wow! » semble avoir été l’exclamation la plus utilisée lorsque la galerie d’art organisée...
Près de 700 personnes au Festival culinaire africain à Regina REGINA - Retour sur le Gala culinaire africain qui a attiré près de 700 personnes le 18 juin 2016 à Regina.
La Saint-Jean-Baptiste en Saskatchewan Compte rendu et photos des célébrations de la Saint-Jean-Baptiste à Saskatoon, Bellegarde, Gravelbourg et Zenon Park.
À Montréal: jeunesse et francophonie à l'avant plan jusqu' au 11 juillet Jusqu'au 11 juillet, le fait français sera à l'honneur à l'Université de Montréal puisque l'institution...
Privée de financement et de personnel depuis avril 2015 Quel avenir pour la Fédération provinciale des Fransaskoises? La Fédération provinciale des Fransaskoises (FPF) est en mode survie. Sans aucun financement depuis avril 2015, qu'elle soit...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6373 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer