Spectacle 23 octobre 2014 Demi-finale de Fransaschante à Saskatoon SASKATOON - La nouvelle saison des Cabarets du Relais de Saskatoon démarrait en beauté, le 10 octobre dernier, en mettant à l’honneur les quarante ans et plus pour la demi-finale nord du concours Fransaschante. On y récompensait l’audace des participants qui osaient, pour l’occasion, sortir de leur zone de confort.
23 octobre Saskatoon Plus de 20 000$ récolté Fédération des Francophones de Saskatoon : Un glorieux gala! Saskatoon - Le gala Cœur à Cœur de la Fédération des francophones de Saskatoon s’est tenu la fin de semaine...
La magnifique production de la compagnie Tout à trac était de passage à... Pinocchio vient de renaître SASKATOON - En invitant la compagnie de théâtre Tout à trac à présenter leur nouvelle création...
Soigner autrement avec l’art thérapie Faire face au deuil par la création d’images Nathalie Brissette-Chenery est orthopédagogue de profession. Depuis quelques mois, elle est également art thérapeute et...
Mgr de Laval lutte contre la faim, avec enthousiasme Certains auront du mal à y croire. « La faim existe au Canada »1, qui fait partie des 10 pays les plus riches de la...
François Kasongo élu représentant de l'Ouest au conseil d'administration Congrès annuel du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC) Plus de 85 personnes, présidences des collèges, directions générales, directions des études et de la formation...
17 février 2020 AJEFS 29180 Société, Femmes, Chronique juridique L’affaire personne: Les droits des femmes au Canada Jusqu’à la fin du 19e siècle, les femmes mariées n’avaient pas le droit de posséder de propriété. Au moment de l’affaire « personne », les femmes dans la plupart des provinces canadiennes venaient tout juste d’obtenir le droit de vote. Par exemple, les femmes du Manitoba, de la Saskatchewan, de l’Alberta et de la Colombie-Britannique n’ont pas obtenu le droit de vote avant 1917. Et ce n’est que deux ans plus tard qu’elles ont obtenu le droit de vote aux élections fédérales. Même si les choses changeaient, en 1927 les droits des femmes n’étaient toujours pas établis. En 1927, cinq femmes de l’Alberta voulaient faire progresser les choses plus rapidement. Emily Murphy, Henrietta Muir Edwards, Nellie McClung, Louise McKinney et Irene Parlby ont amené leur cause à la Cour suprême du Canada. La question était de savoir si les femmes étaient comprises dans l’interprétation légale du terme « personne ». À cette époque, l’article 24 de la Loi sur l’Amérique du Nord britannique de 1867, stipulait que seulement « des personnes ayant les qualifications voulues » pouvaient faire partie du Sénat. La Cour suprême du Canada avait alors décidé que le mot « personne » excluait les femmes. Les « Célèbre cinq » ont alors porté leur cause en appel au Comité judiciaire du Conseil privé britannique, le plus haut tribunal d’appel au Canada à l’époque. Le 18 octobre 1929, la décision est annoncée par Lord Sankey, grand chancelier de Grande-Bretagne, en leur faveur, reconnaissant que les femmes étaient éligibles à devenir sénatrices. La décision mentionnait : « L’exclusion des femmes de toute charge publique est un vestige d’une époque plus barbare. Aux personnes qui se demandent si le mot « personne » doit comprendre les femmes, la réponse est évidente, pourquoi pas? » Besoin d’information juridique? Visitez le site saskinfojustice.ca ou contactez l'Association des juristes d'expresssion française de la Saskatchewan : 1 855-924-8543 / centre@saskinfojustice.ca Balises L'Affaire personne Partager Imprimer