18 octobre Santé C’est tout le bagage culturel du patient qu’il faut voir. Services de santé en français en milieu minoritaire: il faut aller plus loin que la question de la langue Lorsqu’on parle de services de santé en français en milieu minoritaire, il faut innover. Il faut aller plus loin que la...
Autochtones / Métis Des facteurs socioéconomiques et culturels influent sur la performance au chapitre de l'éducation et des compétences
Clearing the Plains; Disease, Politics of Starvation & the Loss of... Un auteur de Regina remporte un prix prestigieux pour avoir redonné vie aux enjeux autochtones du 19e siècle Dans son dernier ouvrage intitulé Clearing the Plains; Disease, Politics of Starvation & the Loss of Aboriginal Life, James...
Assemblée générale extraordinaire de l’ACFR L’assemblée générale extraordinaire de l’Association canadienne-française de Regina (ACFR), qui visait...
L’autobiographie d’Arthur Denis, "Mémoires du Shérif de Champêtre County"... Arthur Denis, leader et conteur fransaskois Au sud de Saskatoon se dresse le ranch Champêtre County. J’ai pu le connaître non pas en me rendant sur place, mais en lisant...
Un coin de paradis à 5 minutes de Prince Albert Little Red River: À la découverte d’un petit joyau naturel PRINCE ALBERT - Après une semaine de travail bien remplie, rien ne vaut une petite randonnée dans un écrin naturel dont les...
17 février 2020 AJEFS 29168 Société, Femmes, Chronique juridique L’affaire personne: Les droits des femmes au Canada Jusqu’à la fin du 19e siècle, les femmes mariées n’avaient pas le droit de posséder de propriété. Au moment de l’affaire « personne », les femmes dans la plupart des provinces canadiennes venaient tout juste d’obtenir le droit de vote. Par exemple, les femmes du Manitoba, de la Saskatchewan, de l’Alberta et de la Colombie-Britannique n’ont pas obtenu le droit de vote avant 1917. Et ce n’est que deux ans plus tard qu’elles ont obtenu le droit de vote aux élections fédérales. Même si les choses changeaient, en 1927 les droits des femmes n’étaient toujours pas établis. En 1927, cinq femmes de l’Alberta voulaient faire progresser les choses plus rapidement. Emily Murphy, Henrietta Muir Edwards, Nellie McClung, Louise McKinney et Irene Parlby ont amené leur cause à la Cour suprême du Canada. La question était de savoir si les femmes étaient comprises dans l’interprétation légale du terme « personne ». À cette époque, l’article 24 de la Loi sur l’Amérique du Nord britannique de 1867, stipulait que seulement « des personnes ayant les qualifications voulues » pouvaient faire partie du Sénat. La Cour suprême du Canada avait alors décidé que le mot « personne » excluait les femmes. Les « Célèbre cinq » ont alors porté leur cause en appel au Comité judiciaire du Conseil privé britannique, le plus haut tribunal d’appel au Canada à l’époque. Le 18 octobre 1929, la décision est annoncée par Lord Sankey, grand chancelier de Grande-Bretagne, en leur faveur, reconnaissant que les femmes étaient éligibles à devenir sénatrices. La décision mentionnait : « L’exclusion des femmes de toute charge publique est un vestige d’une époque plus barbare. Aux personnes qui se demandent si le mot « personne » doit comprendre les femmes, la réponse est évidente, pourquoi pas? » Besoin d’information juridique? Visitez le site saskinfojustice.ca ou contactez l'Association des juristes d'expresssion française de la Saskatchewan : 1 855-924-8543 / centre@saskinfojustice.ca Balises L'Affaire personne Partager Imprimer