2 mai Santé Les besoins en et soins infirmiers la bilingues toujours criants en Saskatchewan Alors que la cérémonie de remise des diplômes de la première cohorte du programme bilingue de sciences infirmières de La Cité universitaire...
Les Fransaskois solidaires pour le 25e Francothon Lancé le 14 avril, le Francothon en est à sa 25e année d’activité. En partenariat avec Radio-Canada Saskatchewan, la Fondation fransaskoise...
La diversité linguistique, une sagesse africaine On entend souvent dire que l’avenir de la Francophonie se trouve en Afrique. Cette proposition relève de l’accroissement démographique...
Un monde sans guerre, une utopie? Alors que la Russie ne donne aucun signe de vouloir mettre fin à la guerre en Ukraine, le public canadien est bombardé d’images et subit les...
Maintenant ou jamais Le 4 avril dernier, le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) publiait le troisième et dernier volet de...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6197 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer