21 mars Autochtones / Métis Discussion sur l’identité métisse à l’Université de Regina FRANCOPRESSE – Plusieurs personnes s’identifient faussement comme Métis. La question s’est retrouvée au cœur d’une...
À moins de 8 % d’immigration, les Franco-Canadiens s’amoindriront Pour maintenir le poids démographique actuel des francophones hors Québec d’ici 2036, il faudrait que la cible d’immigration...
Tenons les rênes de la conservation Un article scientifique de l’Université de la Saskatchewan s’intéresse aux différents mécanismes conduisant au déclin des...
Des lendemains imprévisibles Dominique Liboiron se remémore la crise politique qu'il avait vu de ses propres yeux au Burkina Faso en 1999.
Brigitte et le caneton, un livre à découvrir en famille Écrit par Hélène Flamand et illustré par Andrew S. Davis, Brigitte et le caneton est la dernière publication des Éditions de la nouvelle...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6206 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer