3 mars L'Apostrophe Les symptômes post-pandémie Le début de l’effondrement ? (5/5) Frédéric Dupré: cette pandémie est probablement la pointe de l’iceberg que notre civilisation vient de frapper de plein fouet.
Flush, une pièce à l’univers magique La pièce Flush de Marie-Claire Marcotte fait vivre toute une gamme d’émotions au spectateur sur les relations familiales et la...
Une aventure politique aux barricades de Coutts Dominique Liboiron: 30 janvier 2022. Sud de l’Alberta. La Gendarmerie royale du Canada bloque mon chemin. J’arrête la voiture et...
Ouvrir la page des Noires Amériques L’auteur canado-congolais Blaise Ndala est une des grandes pointures de la littérature noire américaine.
L’enseignement en français au cœur des débats Les collèges et universités francophones en milieu minoritaire font face à d’importants défis partout au Canada.
25 mars 2024 Pierrette Requier 6214 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer