10 février Écoles d'immersion Les faibles taux de rétention, revers de la médaille en immersion Les programmes d’immersion ont augmenté dans les vingt dernières années, mais moins de la moitié des élèves restent jusqu’à...
Trois femmes immigrantes aux destins inouïs L’atelier Threads: Cultural Conversations organisé par le Saskatoon Open Door Society a offert un tour d’horizon des perspectives...
Un fibrant hommage à Joe Fafard « Pense au sculpteur de Pense » est une œuvre de l’artiste Heike Fink, originaire d’Allemagne et établie à...
La fin d'Erin O'Toole à la tête du Parti conservateur Erin O’Toole n’est plus chef du Parti conservateur à la suite d’un vote de confiance des députés de son parti le 2 février en...
À quatre pattes, comptez celles des autres ! Avec le Winter Bug Count, vous pourrez contribuer vous aussi au recensement des petites bêtes et devenir de véritables...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6214 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer