21 mars Autochtones / Métis Discussion sur l’identité métisse à l’Université de Regina FRANCOPRESSE – Plusieurs personnes s’identifient faussement comme Métis. La question s’est retrouvée au cœur d’une...
À moins de 8 % d’immigration, les Franco-Canadiens s’amoindriront Pour maintenir le poids démographique actuel des francophones hors Québec d’ici 2036, il faudrait que la cible d’immigration...
Tenons les rênes de la conservation Un article scientifique de l’Université de la Saskatchewan s’intéresse aux différents mécanismes conduisant au déclin des...
Des lendemains imprévisibles Dominique Liboiron se remémore la crise politique qu'il avait vu de ses propres yeux au Burkina Faso en 1999.
Brigitte et le caneton, un livre à découvrir en famille Écrit par Hélène Flamand et illustré par Andrew S. Davis, Brigitte et le caneton est la dernière publication des Éditions de la nouvelle...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 4986 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer