3 mars L'Apostrophe Les symptômes post-pandémie Le début de l’effondrement ? (5/5) Frédéric Dupré: cette pandémie est probablement la pointe de l’iceberg que notre civilisation vient de frapper de plein fouet.
Flush, une pièce à l’univers magique La pièce Flush de Marie-Claire Marcotte fait vivre toute une gamme d’émotions au spectateur sur les relations familiales et la...
Une aventure politique aux barricades de Coutts Dominique Liboiron: 30 janvier 2022. Sud de l’Alberta. La Gendarmerie royale du Canada bloque mon chemin. J’arrête la voiture et...
Ouvrir la page des Noires Amériques L’auteur canado-congolais Blaise Ndala est une des grandes pointures de la littérature noire américaine.
L’enseignement en français au cœur des débats Les collèges et universités francophones en milieu minoritaire font face à d’importants défis partout au Canada.
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 4986 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer