16 février Regina L’ACFR à la reconquête des Fransaskois L’Association canadienne-française de Regina (ACFR) a lancé au début du mois de février un sondage afin de revoir sa programmation et...
Ode à la bibliothèque Le nouveau projet artistique de Byrun Boutin-Maloney, alias Byrun Beets, utilisera les ressources du studio d’enregistrement...
Dune, ou la rencontre mystique entre Denis Villeneuve et Frank Herbert Dune, c’est l’histoire de Paul Atréides, un jeune homme brillant destiné à vivre une épopée hors du commun et plus grande que ce...
Les ÉNP se dotent d’une direction générale Pour la première fois en 38 ans, les Éditions de la nouvelle plume (ÉNP) bénéficient d’une direction générale.
La démence n'est pas une fatalité De nombreuses stratégies de prévention permettent d'entretenir les capacités cognitives des gens à risque de souffrir de démence.
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 4998 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer