14 mars Littérature Littérature: Quand l’Est et l’Ouest se rencontrent Le dernier numéro de la revue fransaskoise À ciel ouvert, publié en décembre dernier, fait la part belle au rapprochement littéraire...
Les éditeurs franco-canadiens ont su tirer profit de la pandémie Les ventes de livres d’éditeurs francophones du Canada ont augmenté de 18,3 % en 2021 comparativement à 2020.
Liberté, que de bêtises on profère en ton nom C'est quoi, ces « convois de la liberté » qui ont convergé à Ottawa et ailleurs? Quel est le lien entre leur message et...
Le CÉCS au cœur du mouvement coopératif depuis 75 ans À travers une exposition exclusive présentée dans le cadre de son du 75e anniversaire, toute l’histoire du Conseil économique...
Fête en famille à Gravelbourg Dans le cadre de la Fête de la famille, l’Association communautaire fransaskoise de Gravelbourg a offert une multitude d’activités...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 4986 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer