1 février En quelques mots Aux confins de l’univers Alors que la planète avait la tête dans les célébrations de Noël, un événement scientifique marquant est passé presque inaperçu. Il s’agit...
Une nouvelle entrée en scène pour les jeunes Fransaskois Le Conseil culturel fransaskois propose pour la première fois aux jeunes de moins de 18 ans de monter sur leur...
La francophonie, parent pauvre du postsecondaire L’égalité est loin d’être atteinte entre les établissements postsecondaires francophones et ceux de la majorité anglophone.
Elsie Miclisse à micro ouvert L’animatrice Elsie Miclisse a quitté la barre de l’émission matinale Point du jour de Radio-Canada Saskatchewan pour...
Des dossiers chauds pour deux secrétaires parlementaires francophones Les députés Marc Serré et Marie-France Lalonde ont été respectivement nommés secrétaires parlementaires auprès de la ministre aux Langues...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 4998 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer