26 octobre Autochtones / Métis Suis-je un colon? Jérôme Melançon s'interroge sur l'usage du terme « colon », qui est de plus en plus utilisé par des personnes non...
Vers un nouveau modèle de conservation de la faune sauvage ? Le modèle nord-américain de conservation de la faune sauvage est une doctrine vieille de 160 ans. Un modèle prédominant pour les organismes...
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La distorsion de l’espace: les symptômes post-pandémie Au cours de cinq chroniques, Frédéric Dupré compte vous présenter quelques-unes des transformations radicales qui sont en train de redéfinir les...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6248 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer