11 novembre Histoire et patrimoine Le jour du Souvenir, mais le souvenir de qui ? En ce jour du souvenir, nos pensées se tournent le plus souvent vers cette « masse anonyme » de soldats qui, pourtant, possèdent tous...
Robsart : une communauté effacée par le temps Parmi les bâtisses vides situées sur la rue principale de Robsart, on trouve une quincaillerie, un garage, un centre communautaire, un hôpital et...
L’Eau vive, dépositaire de la mémoire fransaskoise Par le biais de son Centre des archives fransaskoises, la Société historique de la Saskatchewan compte numériser tous les numéros...
Hors Québec, lire en français reste un défi Dégoter des livres en français en milieu francophone minoritaire est loin d’être évident.
L’Eau vive à l’ère du numérique À travers ses cinquante ans d’existence, L’Eau vive est restée et continue d'être fidèle à la communauté...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6243 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer