Postsecondaire 18 décembre 2018 Journalisme en français : Des journalistes formés en Saskatchewan dès 2019
17 décembre Aventure et plein air Habiter sur une île déserte pendant 29 ans Le plus souvent, les naufragés veulent quitter leur île déserte à tout prix. Mais un homme japonais vient de vivre seul 29 ans sur une île...
Vigilance et solidarité Être francophone au Canada demande une conviction inébranlable et une résilience sans borne. Il faut être vigilant à tout moment et faire preuve...
Centre de la francophonie des Amériques : Un changement de cap qui inquiète Le président-directeur général du Centre de la francophonie des Amériques, Denis Desgagné, est remplacé au pied levé sur décision du gouvernement...
Profil des gens d’ici - Katarína Fašiangová Amoureuse de la langue française et du voyage ! Katarína Fašiangová est une véritable passionnée de la langue française comme nous en trouvons peu. Elle a choisi de quitter son pays natal, la...
Tout le monde parle de la résistance La maturité politique des Franco-Ontariens engage le reste du Canada Les provocations de la Québécoise Denise Bombardier et les coupes de l’Ontarien Doug Ford ont été encaissées. Après ce fut le déluge, la...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6541 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer