20 octobre Histoire et patrimoine Les Journées du Patrimoine de la Société historique de la Saskatchewan Le centenaire l'armistice célébré en français à Moose Jaw MOOSE JAW — Le 29 septembre dernier, à la 15e escadre de Moose Jaw (aérodrome McEwen) et dans le cadre de la 13e édition...
Sommet provincial 2018 en immigration francophone REGINA - Le Sommet provincial 2018 en immigration francophone a eu lieu les 24 et 25 septembre dernier à la Cité universitaire francophone de...
Assemblée annuelle de la Société historique de la Saskatchewan Préserver les archives et sensibiliser les jeunes REGINA - La préservation des archives fransaskoises fait face à de nombreux défis et la Société historique de la Saskatchewan (SHS) ne ménage pas...
Célébrations du centenaire du Collège Mathieu GRAVELBOURG - L’équipe du Collège Mathieu n’a pas ménagé ses efforts pour célébrer en grand le centenaire de l’institution...
Une première visite en Fransaskoisie pour le Comité permanent des langues officielles REGINA - Le 27 septembre dernier, à Regina, avait lieu une séance de consultations du Comité permanent des langues officielles de la Chambre...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6541 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer