16 mars Coup d'oeil sur le monde Premières Nations : la longue route vers la guérison Shawna Oochoo, la présidente de White Pony Lodge, une plume d'aigle à la main, a livré un émouvant témoignage le vendredi 10 mars 2017 au...
L’ACFR amorce une année de défis REGINA - Déficit de 45 789$ pour 2016-17, coupure de 40% du financement de Patrimoine canadien pour la prochaine année, nouvelle direction...
Mur à la frontière mexicaine : des espèces en danger La construction d’un mur à la frontière entre les États-Unis et le Mexique aura des impacts dont on parle très...
Être francophone en 2017 Si on regarde d’un œil historique, au Canada, on était Français au début. Mais rapidement on est devenu Canadien...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6446 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer