13 mai Littérature Un « roman personnel » finement architecturé Un musicien d'Harmonium devenu romancier « Bonsoir. Je m’appelle Michel Normandeau et je vais vous raconter une histoire… »
Radio communautaire : le projet « Cap Ouest » La radio communautaire francophone de Gravelbourg, CFRG 93,1 FM, a reçu une subvention de 174 975 $ du Fonds canadien de la radio...
Faites le deux pour le français au Parlement On s’est inquiété dernièrement au sujet d’une ministre qui ne peut être comprise par tous les Canadiens...
Un avant-goût de traditions Atelier de culture traditionnelle pour les jeunes de Gravelbourg GRAVELBOURG - Quoi de mieux pour sensibiliser la nouvelle génération au patrimoine culturel fransaskois que de les initier...
Une journée pour célébrer notre planète bleue à Prince Albert PRINCE ALBERT - Quand Prince Albert décide de fêter la Journée de la Terre, cela se concrétise par un rassemblement de...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6356 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer