22 octobre Politique La démocratie reste à venir même en Occident... Au moment de lire ceci, vous avez probablement exercé votre droit de vote. Vous avez aussi probablement « perdu vos...
Le Théâtre Oskana fêtera sur scène les 50 ans de l’ACFR REGINA - Laurier Gareau et et Guy Michaud ont créé une pièce pour marquer le 50e anniversaire de fondation de...
Mot d'André Poulin-Denis, président du Conseil d’administration de la... Une campagne de financement pour assurer la survie de L'Eau vive Cette semaine la CPF lance une campagne de prélèvement de fonds importante. Cette initiative a pour objectif d’assurer...
Résultats du vote en Saskatchewan Détails des résultats dans les circonscriptions saskatchewannaises suite aux élections fédérales du 19 octobre...
Quelques infos « non officielles » sur les trois chefs Alors que les électeurs sont sur le point de faire leur choix, il est toujours pratique de donner des informations que les chefs de parti...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6308 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer