8 octobre Religion Le pape mobilise à Philadelphie Le discours inclusif et parfois incisif du pape François a fait jaser les politiciens des deux côtés de la frontière....
Santé en français et les aînés, nouvelle stratégie pour 2016 La Société Santé en français tiendra deux rencontres au cours des prochaines semaines pour élaborer ses plans...
Saskatchewan et Botswana sur le front du SIDA SASKATOON - De récentes statistiques de Santé Canada indiquent que le taux d’infection par le virus de...
Élections fédérales : quel chef servirait le mieux les francophones? Au cours de 37 des 50 dernières années, le gouvernement canadien a été dirigé par des chefs montréalais....
Des parents chargent à nouveau le Conseil scolaire REGINA - Moins de six semaines après une Assemblée générale extraordinaire plutôt houleuse, le Conseil scolaire...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6308 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer